Il apparaît tout d’abord utopique de penser que, concernant des violations de droits visant à garantir les humains contre l’exclusion sociale, économique et culturelle, la plupart des victimes, en situation de pauvreté, de mauvaise santé et/ou de carences éducatives, pourraient seules affronter le labyrinthe de procédures nationales (à plusieurs degrés), puis régionales et enfin internationales/universelles (sans exclure les mécanismes sectoriels) susceptibles de reconnaître leur bon droit. Les victimes les plus défavorisées ont donc rarement accès à ces procédures.
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