Voici le système de profit médicamenteux destiné (c’est même étudié pour) à lobotomiser voire éliminer le trop plein de population mondiale (du point de vue de leur soif de domination) tout en faisant du fric : rendre malade les riches occidentaux, c’est les faire raquer pour des traitements chimiques qui les pourrissent encore plus.
Ce documentaire prenant, qui contient plus de 175 interviews avec des avocats, des experts de la santé mentale, des familles de victimes et d’anciens patients rescapés, révèle l’horreur des drogues psychiatriques et dénonce une entreprise commerciale très lucrative, sans pitié et bien huilée.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCDH) est un organisme de surveillance de la santé mentale à but non lucratif, responsable d’avoir aidé à faire adopter plus de 150 lois qui protègent les individus de pratiques abusives ou coercitives. La CCDH a longtemps lutté pour rétablir les droits humains fondamentaux inaliénables dans le domaine de la santé mentale, y compris le plein consentement éclairé en ce qui concerne la légitimité médicale du diagnostic psychiatrique, les risques des traitements psychiatriques et le droit de refuser n’importe quel traitement considéré destructeur. La CCDH a été co-fondée en 1969 par l’Église de Scientologie et le Professeur Émérite de Psychiatrie Dr. Thomas Szasz au moment où les patients étaient entreposés dans des institutions et dépouillés de tous leurs droits constitutionnels, civils et humains.
La CCDH fonctionne seulement en tant que chien de garde de la santé mentale, travaillant aux côtés de nombreux professionnels de la santé, notamment des médecins, des scientifiques, des infirmières et les quelques psychiatres qui ont pris une position contre la modèle biologique/drogues de la « maladie » qui est continuellement promu par l’industrie psychiatrique/pharmaceutique en tant que moyen pour vendre des prétendus médicaments. C’est une organisation non politique, non religieuse et à but non lucratif dédiée seulement à l’éradication des abus en santé mentale et à la mise en place de protections pour les patients et les consommateurs. Les membres du Conseil Consultatif de la CCDH sont appelés des Commissaires parmi lesquels on retrouve des médecins, des chercheurs, des psychologues, des avocats, des législateurs, des éducateurs, des professionnels, des artistes et des représentants civils et humains des droits. Les membres du Comité consultatif de la CCDH, appelés Commissaires, comprennent des médecins, scientistes, psychologues, avocats, législateurs, éducateurs, professionnels du monde des affaires, artistes et des représentants de droits civils et humains.
Les gens demandent souvent si la CCDH est d’avis que personne ne devrait jamais prendre des médicaments psychiatriques, mais ce site n’est pas dédié aux opinions. Il est dédié à fournir de l’information qu’une industrie psycho/pharmaceutique ne veut pas les gens voient ou connaissent. La vraie question est donc ceci: Est-ce que les gens ont le droit d’avoir toutes les informations sur A) les risques connus des médicaments et/ou des traitements de la part d’intervenants médicaux non biaisés et sans conflits d’intérêt, B) la validité du diagnostic médical pour lequel les médicaments sont prescrits, C) toutes les options non médicamenteuses (essentiellement le « consentement éclairé ») et D) le droit de refuser tout traitement qu’ils considèrent comme nuisibles.
La CCDH a travaillé pendant plus de 40 ans pour que le consentement éclairé complet soit une réalité dans le domaine de la santé mentale, et pour le droit à avoir toutes les informations concernant les diagnostics et les traitements psychiatriques, pas seulement les informations venant de ceux qui ont un intérêt à les garder dans le noir.
C’est dans cet esprit que nous vous présentons des vidéos, des blogs, des nouvelles, des experts médicaux et de l’information visant à vous armer avec les faits.
Profits macabres : les drogues psychiatriques
ReplyDeletehttp://www.clap36.net/blog-note/181-profits-macabres–les-drogues-psychiatriques-.html
Voici le système de profit médicamenteux destiné (c’est même étudié pour) à lobotomiser voire éliminer le trop plein de population mondiale (du point de vue de leur soif de domination) tout en faisant du fric : rendre malade les riches occidentaux, c’est les faire raquer pour des traitements chimiques qui les pourrissent encore plus.
Ce documentaire prenant, qui contient plus de 175 interviews avec des avocats, des experts de la santé mentale, des familles de victimes et d’anciens patients rescapés, révèle l’horreur des drogues psychiatriques et dénonce une entreprise commerciale très lucrative, sans pitié et bien huilée.
Stay safe !
http://www.droitshumains.ca/dev/defaut/profits-macabres-histoire-cachee-des-drogues-psychiatriques/
ReplyDeletehttp://www.droitshumains.ca/
ReplyDeleteLa Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCDH) est un organisme de surveillance de la santé mentale à but non lucratif, responsable d’avoir aidé à faire adopter plus de 150 lois qui protègent les individus de pratiques abusives ou coercitives. La CCDH a longtemps lutté pour rétablir les droits humains fondamentaux inaliénables dans le domaine de la santé mentale, y compris le plein consentement éclairé en ce qui concerne la légitimité médicale du diagnostic psychiatrique, les risques des traitements psychiatriques et le droit de refuser n’importe quel traitement considéré destructeur. La CCDH a été co-fondée en 1969 par l’Église de Scientologie et le Professeur Émérite de Psychiatrie Dr. Thomas Szasz au moment où les patients étaient entreposés dans des institutions et dépouillés de tous leurs droits constitutionnels, civils et humains.
La CCDH fonctionne seulement en tant que chien de garde de la santé mentale, travaillant aux côtés de nombreux professionnels de la santé, notamment des médecins, des scientifiques, des infirmières et les quelques psychiatres qui ont pris une position contre la modèle biologique/drogues de la « maladie » qui est continuellement promu par l’industrie psychiatrique/pharmaceutique en tant que moyen pour vendre des prétendus médicaments. C’est une organisation non politique, non religieuse et à but non lucratif dédiée seulement à l’éradication des abus en santé mentale et à la mise en place de protections pour les patients et les consommateurs. Les membres du Conseil Consultatif de la CCDH sont appelés des Commissaires parmi lesquels on retrouve des médecins, des chercheurs, des psychologues, des avocats, des législateurs, des éducateurs, des professionnels, des artistes et des représentants civils et humains des droits. Les membres du Comité consultatif de la CCDH, appelés Commissaires, comprennent des médecins, scientistes, psychologues, avocats, législateurs, éducateurs, professionnels du monde des affaires, artistes et des représentants de droits civils et humains.
Les gens demandent souvent si la CCDH est d’avis que personne ne devrait jamais prendre des médicaments psychiatriques, mais ce site n’est pas dédié aux opinions. Il est dédié à fournir de l’information qu’une industrie psycho/pharmaceutique ne veut pas les gens voient ou connaissent. La vraie question est donc ceci: Est-ce que les gens ont le droit d’avoir toutes les informations sur A) les risques connus des médicaments et/ou des traitements de la part d’intervenants médicaux non biaisés et sans conflits d’intérêt, B) la validité du diagnostic médical pour lequel les médicaments sont prescrits, C) toutes les options non médicamenteuses (essentiellement le « consentement éclairé ») et D) le droit de refuser tout traitement qu’ils considèrent comme nuisibles.
La CCDH a travaillé pendant plus de 40 ans pour que le consentement éclairé complet soit une réalité dans le domaine de la santé mentale, et pour le droit à avoir toutes les informations concernant les diagnostics et les traitements psychiatriques, pas seulement les informations venant de ceux qui ont un intérêt à les garder dans le noir.
C’est dans cet esprit que nous vous présentons des vidéos, des blogs, des nouvelles, des experts médicaux et de l’information visant à vous armer avec les faits.